Non, mais quelle idée…!
Juillet : le soleil, la chaleur, les rues et les entrées de maison dégagées, des amis en vacances… Il n’y a pas à dire, c’est le mois idéal pour déménager. Pour ma part, comme je ne fais pas les choses à la manière de tout le monde, j’ai décidé de déménager en plein mois de janvier. Non, mais quelle idée…!
Je ne vous le cacherai pas, juillet me semblait beaucoup trop loin et j’étais trop pressée d’entrer dans ma nouvelle résidence pour attendre jusque-là! Donc, comme quelques-uns de mes amis, j’ai affiché une semaine à l’avance sur mon profil Facebook que je cherchais des bras et des jambes supplémentaires (et il m’en fallait absolument parce que, parti comme c’était, nous n’étions que deux pour faire tout le travail…). Trois amis facebookiens courageux ont répondu à l’appel!
Pour tout vous dire, j’appréhendais quand même le jour « J »; toute la semaine dernière, j’ai été une véritable « Gaston Lagaffe ». La seule chose qui était de mon bord, c’était la température; il faisait beau et la neige fondait à bon rythme. Mais, bien entendu, il a fallu qu’il en tombe plusieurs centimètres la veille! La panique…
Le fameux jour venu, je sors ma « to do list » et je commence : louer un camion, check, attendre l’arrivée de mes déménageurs amateurs, check, commencer à sortir les cartons sans stress, demi-check, espérer que les livreurs d’électroménagers n’arrivent pas avant moi, pas de check! Eh bien oui, ils sont arrivés un peu trop tôt dans ma liste… Il a fallu que je réveille une amie qui habite près de mon nouveau chez-moi pour qu’elle aille leur ouvrir la porte… Tout un réveil, désolée! Enfin : finir de charger le camion sans casse ni blessure, check! La journée se passe sans accrocs, sans dégâts, et tout le monde a le sourire. En tout, il ne nous aura fallu que trois heures et demie (transport compris) pour tout faire : un record, selon moi!
À bien y repenser aujourd’hui, ce fut finalement une bonne décision de déménager en janvier; j’ai revu une amie de longue date (et la veille de son anniversaire, en plus!), j’ai fait déroger les autres de leur routine du samedi et, en plus, je n’ai pas eu à débourser un prix de fou pour des déménageurs, en pleine grosse saison. Mais je ne suis pas cheap, j’ai quand même payé la tournée!
Un gros merci à vous Laurie, Stéphanie, Éric et Frank. Et merci aussi à ceux qui m’ont dit qu’ils seraient là « en pensée », vous avez fait en sorte que le soleil soit au rendez-vous et que je ne fasse pas de gaffes cette journée-là!
