Le Parti montarvillois a choisi son local

Le Parti montarvillois annonçait dernièrement quel district chacun de ses candidats représentera lors de la prochaine campagne électorale. Par la même occasion, l’équipe dévoilait l’emplacement de son futur local de campagne, au 1546, rue Montarville.

Selon Martin Murray, le lieu de rassemblement de son équipe, qui sera d’ailleurs ouvert du 1er juillet au 15 novembre, permettra aux citoyens et aux candidats d’échanger sur les différents enjeux et dossiers de la municipalité. « Notre local sera aménagé de façon très conviviale parce que nous voulons que les gens se l’approprient et se sentent à l’aise de venir nous y rencontrer, souligne le chef de parti. Mais avant tout, nous voulons que les Montarvillois sachent que nous sommes prêts à les écouter et à travailler avec eux. »

Les citoyens auront alors l’occasion de rencontrer Marlène Bousquet, pour le district #1, Catherine Bélair, le #2, Sébastien Raîche, le #3, Martin Guèvremont, le #4, Serge Moquin, le #5, Marilou Alarie, le # 6, Jacques Bédard, le #7, et l’actuelle conseillère, Michèle Archambault, dans le #8, à plusieurs reprises durant les mois à venir.

Programme et plate-forme électoraux

D’ici quelques jours, les candidats commenceront leur porte-à-porte. Avec les commentaires et les éléments qu’ils recueilleront, ils peaufineront par la suite leur programme électoral. Les moyens qu’ils utiliseront pour réaliser leurs engagements seront, quant à eux, dévoilés au compte-goutte à compter du 19 septembre, jour qui lancera officiellement la campagne électorale au Québec.

Amener les citoyens à voter

Interrogé sur la raison qui a motivé le parti à ouvrir aussi rapidement son local, M. Murray s’explique : « Ça nous prenait un lieu de rassemblement. Nous ne souhaitions pas attendre le début de campagne et faire les choses en accéléré. Nous voulons profiter de la période estivale pour rencontrer les citoyens et, pour les candidats, entrer en contact avec leur communauté. »

En s’y prenant tôt, l’équipe souhaite susciter l’intérêt des gens par rapport aux prochaines élections municipales et aux dossiers à travailler, et ainsi amener plus de citoyens à aller voter le 3 novembre. « La démocratie ne pourra que s’en porter mieux », conclut M. Murray.