Un don de 500 $ pour l’organisme Minta
Reflets de femme
Invités de Reflets de femme, la présidente de Minta Gisèle Prévost et trois autres membres ont donné une conférence sur l’histoire et les réalisations de cet organisme depuis 50 ans. Pour Reflets de femme, ce fut l’occasion de lui verser un don de 500 $.
Près de 60 membres de Reflets de femme, dont la coordonnatrice Marie-Andrée Hynes, ont accueilli la présidente de Minta, Gisèle Prévost, lors de leur réunion régulière le 3 février. Mme Prévost était alors accompagnée de Marlène Boudrias, Bruno Goulet et Joseph Cogné, afin de prononcer la conférence sur les 50 dernières années de Minta.
Les valeurs de solidarité animent toujours les membres de Reflets de femme, comme en fait foi le chèque de 500 $ versé à Minta lors de la conférence.
Occasion pour s’impliquer
Pour les membres de Reflets de femme, « le 50e anniversaire de la fondation de Minta est une occasion de nous impliquer concrètement et de nous rappeler de nombreux souvenirs vécus avec cet organisme. De plus, nous savons que près de 100 % des dons versés à Minta vont servir au financement de projets humanitaires. En tant que femmes, nous encourageons ces projets orientés sur l’autonomie et l’éducation. »
« La solidarité est plus qu’un mot, elle devient réalité si elle est mise en action. » – Gisèle Prévost
Minta est un organisme de solidarité internationale connu de la majorité des membres de Reflets de femme. Plusieurs d’entre elles ont parcouru les 20 km de la Marche, un parcours beaucoup plus long que les 5,5 km devenus la pratique depuis plusieurs années. Odile Bragard Pelsser, membre de Reflets de femme, continue de participer à la Marche Minta annuelle et se souvient très bien d’avoir parcouru les rues de Saint-Bruno-de-Montarville et d’avoir sollicité des dons afin de réaliser des projets humanitaires. Elle a fait partie du CA de Minta pendant 10 ans.
Une autre membre de Reflets de femme, Fleurette Leblanc, a témoigné de son implication dans le comité Minta durant 10 années, mais aussi en tant que répondante de trois projets du père Leblanc au Pérou dans les années 90. Elle racontait sa première visite au Pérou en 1979 et témoignait des réalisations urgentes que le père Leblanc a effectuées.
Quelques autres membres retraitées de l’enseignement se souviennent aussi d’avoir reçu dans leurs classes des personnes qui œuvraient à la réalisation de projets financés par Minta. Marlène Boudrias se rappelle les agentes de pastorale qui venaient dans les classes pour promouvoir les projets de Minta et pour inviter les élèves à la Marche, ou le Rallye-Minta, comme on l’appelait auparavant.
Il est désormais révolu le temps où les élèves des écoles publiques ramassaient des dons pour Minta. « Nous avons dû nous ajuster, avec regret, car nous estimons que la solidarité est plus qu’un mot, elle devient réalité si elle est mise en action », de dire Gisèle Prévost.
QUESTION AUX LECTEURS :
Avez-vous déjà contribué à Minta?