La CSP fière de son rapport annuel

Éducation

La Commission scolaire des Patriotes (CSP) a dressé un bilan positif de la dernière année scolaire lors de la séance du Conseil des commissaires le 5 février dernier.
Selon le dernier rapport annuel qui a été présenté la semaine dernière, la commission scolaire aurait accepté plus d’élèves en date du 1er septembre 2017, soit 417 de plus. Elle en accueille aujourd’hui 33 273 au total.
La CSP avance aussi dans ce document que leurs élèves réussissent mieux que ceux de l’ensemble du Québec, avec un taux de réussite à 80 %, comparativement à 76,5 % dans le reste de la province.
De plus, le taux de décrochage est resté stable au cours de la dernière année scolaire, représentant 9,3 %, comparativement à 14,6 % pour l’ensemble du Québec.

80 %
C’est le taux de réussite des élèves à la CSP, comparativement à 76,5 % au Québec.

La commission scolaire a également partagé l’avancement de certains projets et dossiers, tels que la construction de la nouvelle école primaire à Mont-Saint-Hilaire, ainsi que les agrandissements de l’école Cœurs-Vaillants à Contrecoeur, et de l’école Ludger-Duvernay à Verchères, dont les travaux sont actuellement en cours.
Il y a également le volet pédagogique alternatif qui a été implanté pour la première fois dans une école de la CSP, l’école primaire Le Rucher à Sainte-Julie. Ce volet pédagogique a officiellement débuté en septembre 2018.
La présidente de la CSP, Hélène Roberge, se disait fière du dernier rapport annuel : « Le rapport annuel que nous présentons met en lumière notre capacité à répondre aux besoins et aux attentes de nos élèves qui sont quotidiennement au centre de nos préoccupations, ce qui traduit bien la force et le dynamisme de tout notre réseau. »
De plus, la CSP a adopté cette année son nouveau Plan d’engagement vers la réussite : Tous Patriotes pour la réussite !, un outil de gouvernance qui veille sur les zones de performances et de vulnérabilité qui caractérisent le parcours scolaire des élèves.
La commission scolaire se félicite également de n’avoir affecté que 3,4 % de son budget aux dépenses administratives, notamment grâce à son centre administratif qui prend en charge la lourdeur administrative de ses écoles et centres de formation.